Confession d’un réveillon pas ordinaire
Amis « Happy Few » qui aimez à vous vanter d’avoir passé le réveillon en Afrique du Sud ou à Crans Montana, alors que certains de nos concitoyens erraient à la supérette une heure avant pour trouver un pack de bière et du jambon sous vide, n’oubliez jamais ça, je dois vous avouer que pour moi un réveillon idéal c’est à l’abris, dans une belle campagne, avec une bonne quinzaine de convives, le feu dans la cheminée, un bon chapon et un son et lumières improvisé car les filles ont très envie de danser après minuit…cela étant dit, cette année, nous avons fait exception à la règle pour aller dans un club privé parisien, dont j’ai le plaisir de connaitre la « night promotor » comme on dit chez nous, et je dois dire qu’à l’exception des bons amis avec qui nous dînions, j’ai déjà oublié cette soirée, sauf le plaisir de rencontrer au fumoir des inconnus d’un soir et d’engager de vagues conversations autour d’une cigarette…