Quel est le féminin de crooner ? L’émergence des crooneuses dans l’histoire de la musique
Dans cet article, nous explorons la question fréquemment posée de savoir quel est le féminin du mot « crooner ». Traditionnellement associé à des chanteurs masculins, ce terme a évolué au fil du temps, et de nombreuses femmes ont aussi marqué l’histoire de ce genre musical. Nous allons répondre à cette interrogation en expliquant l’évolution du terme, son usage, et comment certaines grandes voix féminines ont fait leur marque dans le même genre.
Pourquoi ce sujet est-il important ?
Le mot « crooner » est souvent perçu comme étant exclusivement masculin, en référence aux célèbres Frank Sinatra, Dean Martin, ou encore Bing Crosby. Pourtant, de plus en plus de femmes dans le monde de la musique se sont approprié ce style. Le féminin du terme, bien qu’encore peu utilisé, commence à émerger. Cet article aborde l’importance de revisiter ces termes dans un monde où la reconnaissance des artistes féminines s’intensifie.
Comment le terme « crooner » a évolué ?
Historiquement, le crooning est un style vocal qui a émergé dans les années 1920, caractérisé par une voix douce, intime et généralement accompagnée d’un grand orchestre doté de cuivres et de cordes. Ce genre est devenu le domaine des hommes, avec des figures charismatiques légendaires comme Frank Sinatra. Cependant, des femmes comme Peggy Lee, Julie London, Rosemary Clooney ou Doris Day ont démontré que le crooning n’était pas limité à un genre spécifique. Bien que « crooner » soit principalement masculin, des termes comme « crooneuse » ou « crooneuse moderne » commencent à se faire entendre pour qualifier par exemple des artistes comme Diana Krall, Melody Gardot, ou encore Madeleine Peyroux.
Existe-t-il un terme féminin reconnu pour désigner une femme crooner ?
Le féminin de « crooner » n’est pas encore officiellement consacré dans les dictionnaires, mais certaines alternatives existent, comme « crooneuse ». Ce néologisme reflète la féminisation des termes liés à des genres musicaux. Bien que le mot ne soit pas d’usage courant, il est parfois employé pour décrire des artistes féminines qui incarnent la même sensibilité musicale que leurs homologues masculins. On utilise également très souvent le terme « Divas » pour qualifier ces crooneuses, anciennes ou modernes, comme Julie London, Ella Fitzgerald, Dinah Washington, Melody Gardot ou encore la jeune Stella Cole.
Les crooneuses modernes : des figures féminines à découvrir
L’une des questions les plus fréquemment posées est : qui sont les crooneuses actuelles ? À travers les décennies, plusieurs grandes voix féminines ont réussi à se faire une place dans le monde du crooning. Des artistes comme Michael Bublé ont inspiré des générations de chanteuses à adopter ce style doux et intime. Aujourd’hui, des voix comme celles de Melody Gardot, Diana Krall, Norah Jones ou Stacey Kent font écho à ce style unique, où la douceur et la sensualité se mélangent avec la sophistication du jazz vocal, de la pop et du blues.
Quelles sont les implications culturelles de l’usage du terme crooneuse ?
L’usage du féminin dans le contexte de la musique n’est pas simplement une question linguistique. Il reflète également des enjeux sociaux et culturels. En reconnaissant le féminin de « crooner », on valorise la place des femmes dans un genre musical qui a longtemps été dominé par des hommes. Cela permet aussi de réévaluer la manière dont les termes musicaux sont perçus et ouvre de nouvelles possibilités pour les artistes féminines.