L’artiste peintre et sculpteur, Lysa SARKIS, plébiscitée à Paris pour ses œuvres d’art « Happy Street Art », créées avec son masque respiratoire.
Deux galeries exposent à Paris les œuvres de Lysa SARKIS avec une technique désormais impossible.
La face cachée du Street Art : malgré un masque respiratoire Lysa SARKIS ne pourra plus se défendre des matériaux toxiques.
Deux galeries exposent à Paris ses dernières œuvres faites à base de produits acryliques.
Lysa SARKIS, notre conseillère artistique et spécialiste de l’art contemporain pour Crooner radio, créatrice du mouvement HAPPY ART, peignait depuis plusieurs années, avec un succès grandissant, derrière un masque respiratoire sophistiqué pour ne pas inhaler les relents toxiques des tubes de couleurs plastiques qui lui permettaient de sculpter ses toiles et ses fameuses sphères multicolores. « Le prix à payer » disait cette jolie peintre, éternellement positive et joyeuse, pour le plus grand bonheur de ses expositions au grand palais et dans les galeries internationales.
Après plus de 6 années à parfaire sa technique, unique en son genre, qui lui a donné une reconnaissance dans le monde fermé de l’art contemporain, elle doit aujourd’hui, même nantie de son fameux masque, arrêter sur-le-champ toute proximité avec les produits artistiques new wave (acrylique) utilisés en tube ou en bombe par les artistes de Street Art.
L’Institut Pasteur vient de la mettre formellement en garde : toute proximité avec ces produits devient dangereuse avec un phénomène d’intolérance croissant qui la conduiraient, à terme, de ne plus pouvoir vivre à proximité de solvants, parfums, produits ménagers, essence, etc.bref de l’impensable par rapport à une vie urbaine classique. Une occasion de préciser que ce type d’accident professionnel devient de plus en plus courant dans le monde artistique contemporain, nonobstant que la peinture à l’huile peut également devenir toxique pour certains artistes.
L’artiste doit donc se renouveler entièrement, sur la base d’autres supports et d’autres techniques, laissant derrière elle une période artistique faite de « drippings », Solar Genesis et Solar Plasma.
Les dernières œuvres produites seront exposées prochainement à la Galerie NAG (Not a gallery) avenue Raymond Poincaré, à partir du jeudi 15 mars, suite à la proposition de Natacha DASSAULT (organisatrice et épouse du peintre photographe Olivier DASSAULT), ainsi qu’à la galerie JAMAULT dans le marais, galerie officielle de l’artiste à Paris.
Plusieurs de ses ultimes œuvres de la série «Solar plasma » servent actuellement à décorer le Théâtre de l’Européen à Paris dans le cadre d’une exposition Street Art, qui orne toute la rue BIOT dans le 17ème arrondissement de Paris, aux côtés d’autres artistes connus du Street Art tels que Jeff Aérosol.
Actuellement en préparation d’un trophée de musique international, Lysa SARKIS, suite à sa récente rencontre avec Richard ORLINSKI, prépare de nouvelles formes et de nouvelles techniques. Encouragée par le galeriste Nicolas JAMAULT elle renoue également avec ses capacités dans le figuratif, au service d’une poésie basée sur une culture iconique de super héros et de jardins secrets tels que la physique quantique.
Lysa SARKIS va monter une marche supplémentaire dans le monde de l’art contemporain, nous en sommes persuadés et nous la saluons.