C’est toujours une bonne nouvelle, une vocaliste qui veut à son tour marquer le paysage. C’est le cas avec Indra un nom qui signifie parait-il « Guerrier venu du ciel » dans la mythologie Hindoue.
Fille du bassiste Donald Moore, premier résidant au Danemark, une sorte de trait d’union entre les continents.
Indra a décidé de se servir de toutes les traditions, de toutes les cultures, du gospel, du blues, du jazz et d’autres pour tenter de se frayer une route dans ce monde encombré par ses passés recomposés comme autant de conformismes et de dogmes.
Indra possède une touche de toutes ces grandes musiciennes capables d’émouvoir, de transformer des vies, de donner ce goût formidable, terrifiant et étonnant.
Le blues est omniprésent dans ses chansons en même temps qu’avec l’univers de Duke Ellington.