L’artiste français d’art contemporain Richard Orlinski le plus vendu au monde raconte sa succès Story
Richard Orlinski raconte son surprenant parcours au micro de Crooner
C’est en dévalant les pistes de Courchevel, l’année dernière, que bon nombre de privilégiés ont pu apercevoir les « Kong » et les « Loups » géants et multicolores de l’artiste Richard Orlinski, fièrement plantés dans la neige, au grand bonheur des enfants et des femmes de milliardaires en goguette dans l’une des stations les plus prestigieuses de France.
D’autres, moins chanceux, ont pu apercevoir l’immense « Kong » ciselé en résine transparente dans les émissions « prime time » de TFI, telle que celle du roi Arthur. Et puis enfin dans toutes les galeries nouvelle tendance, de Bartoux à Galery Opéra, des œuvres d’Orlinski multicolores, dont son déjà célèbre « crocodile ».
Et puis, cerise sur le gâteau, au 68 rue du Faubourg St Honoré à Paris, en face du palais de l’Elysée, l’ouverture d’une galerie entièrement destinée à représenter l’artiste, avec ses animaux sculptés, mais également son « jeans qui tient tout seul debout en résine » ou ses « stylettos subimés ». Une galerie à la fois chic et pop art, donnant la réplique une autre galerie, beaucoup plus grande à Miami (prononcer avec l’accent ! : Miammyyyy !)
Encore récemment le géant Walt Dysney qui lui demande de transcender son célèbre « Michey » en résine bleue biseautée…le modèle géant vaut 40 000 euros mais les modèles de poche, en vente chez Disneyland Paris valent une vingtaine d’euros : des œuvres démultipliées, mais « originales ».
Il est évident qu’avec un tel succès et une telle progression, l’establishment de l’art contemporain ne pouvait que détester ce winner éternellement branché, DJ à ses heures et producteur de succès du « dance floor »…
L’aventure de Richard Orlinsky a commencé par une crise existentielle, celle de la quarantaine, qu’il raconte sans détour dans son livre « Pourquoi j’ai cassé les codes », récemment parus chez Michel Laffont.
Après une sympathique rencontre de l’artiste auteur à sa galerie en présence de son ami Bernard Montiel, réputé pour sa gentillesse bordelaise, nous avons eu envie d’interviewer Richard Orlinsky pour aider nos auditeurs à démystifier les secrets de ce nouvel art contemporain, beaucoup plus joyeux que celui des ces 50 dernières années, plus austères et mystérieux.
Plus proche d’Andy Wharol que de Giacometti, le sculpteur concepteur sur résines Richard Orlinsky passe un amical moment au micro de Crooner radio et nous propose, au passage, ces dernières productions musicales sans oublier de nous parler de son projet de one man show mis en scène par son ami Laurent Baffie.